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Avec les mots qui vibrent, je me connecte à la fréquence de l'amour et du partage... J'informe l'univers sur nous et je chemine sur la voie du silence.

lundi 11 août 2025

3 - De la matière à la vibration : La vie secrète des objets




De la matière à la vibration : La vie secrète des objets !

Eléments clés :  

  • La conscience perçoit à deux niveaux – Elle reçoit d’abord des informations physiques (sens, cerveau), puis des données extra-physiques (perceptions extra-sensorielles et extraneuronales). Ces deux niveaux sont vécus par une même conscience. 


  • Deux états d’expérience – L’état d’enfermement, limité à la dimension matérielle, génère souffrance et dualité. L’état d’ouverture, lié à la perception vibratoire de la réalité, supprime cette dualité et change durablement notre rapport au monde, même si l’on revient à un mode plus matériel. 


  • La matière est énergie densifiée – Tout objet, de la table à l’avion en passant par les arbres et les planètes, est une manifestation condensée de l’énergie universelle. La conscience joue un rôle actif dans la transformation de cette énergie en formes matérielles. 


  • Un rapport élargi au monde matériel – Passer d’une vision utilitariste à une perception vibratoire modifie notre relation aux objets : ils ne sont plus de simples outils mais des expressions de l’énergie universelle, contribuant à l’expérience et à l’épanouissement de la conscience. 

 

Le texte :

Comme développé dans l’article “2-De la matière à la vibration – La table qui vibre", visible sur mon blogue, il existe une constante : la conscience. Cette conscience se nourrit, dans un premier tempsou à un premier niveau — des informations transmises par nos capacités physiques. Ensuite, à un second niveau, cette même conscience se nourrit des données provenant de nos facultés extra-physiques, c’est-à-dire de nos perceptions extra-sensorielles et de nos fonctions extraneuronales. C’est une seule et même conscience : nous, l’être que nous sommes, notre âme. 

Il y a deux situations. Une première situation nous nous limitons aux informations issues de la dimension physique, et , nous nous enfermons, nous sommes subordonnés, attachés à ces informations incomplètes. Nous générons de la souffrance parce que, effectivement, cela ne cadre pas avec ce que nous sommes, cela ne cadre pas avec notre mission dans l’univers, cela ne cadre pas avec la raison de notre présence ici, etc. Et cela ne cadre même pas avec notre véritable nature en tant que conscience illimitée. Donc, nous générons de la dualité et de la souffrance. 

Et puis, il y a un deuxième niveau, une deuxième dimension, qui est celle de l’accès à une information complète — et donc à la dimension vibratoire de tout ce qui nous entoure. A ce moment, nous sommes dans l’ouverture, dans l’absence de souffrance, parce qu’à ce niveau-là, nous avons compris : il n’y a pas de dualité, et donc pas de souffrance. Mais qui vit les deux expériences ? C’est le "moi", "l'être" ou la conscience. 

La conscience, comme développé dans les articles “1-De la matière à la vibration : centre commercial, centre d'énergie !...” et “2-De la matière à la vibration – La table qui vibre"(visibles sur mon blog), a accès à deux niveaux d'information : une information cérébrale opérationnelle et une information vibratoire. Elle peut ainsi expérimenter deux états : un état d’enfermement et un état d’ouverture. 

Lorsqu’nous atteignons l’état d’ouverture, nous cessons d’être prisonniers de l’ignorance. Notre perception de l’enfermement change, car nous sommes désormais dans un autre état : celui de l’ouverture. Autrement dit, même lorsque la conscience revient à un mode plus matériel, sensoriel et neuronal, cette nouvelle compréhension empêche tout retour complet à l’enfermement. 

Prenons l’exemple de la table, en tant qu’objet matériel : nous continuons à l’utiliser, la nettoyer, la réparercomme avant. Mais notre regard change. Nous ne la considérons plus comme un simple objet figé dans l’espace, mais comme une réalité vibratoire : un ensemble de particules et d’ondes en oscillation permanente. Nous savons désormais que notre relation à cet objet évolue ; elle dépasse l’usage purement utilitaire. 

Ce changement de lien vient de notre nouvelle compréhension : la table est une densification d’énergie — de particules et d’ondes vibrantes. Et puisque nous reconnaissons que c’est de l’énergie, notre rapport à elle se transforme. Nous ne sommes plus seulement dans une logique d'instrumentalisation, dans laquelle nous, en tant qu’êtres physiques, utilisons la table pour poser notre tasse de café. 

Nous accédons désormais à une connaissance vibratoire : nous savons que cet objet en face de nous est de l’énergie ayant pris forme. Une forme adaptée à nos besoins. Cette table a été conçue et fabriquée par notre menuisier précisément pour cela. Il connaissait nos attentes et l’a créée pour y répondre exactement. 

Nous nous trouvons, à ce stade, dans une réflexion sur la conception de l'énergie. Nous savons que, dans ce cas précis, cette énergie a pris une forme particulière. Mais, par extension, nous savons que cette même énergie se manifeste également dans le fauteuil sur lequel je suis assis. Nous reconnaissons que ce fauteuil est lui aussi une manifestation d’énergie. 

C’est la même énergie qui prend parfois la forme d’une table servant de support à notre tasse de café et à notre ordinateur, et parfois la forme du fauteuil sur lequel nous sommes assis. Nous avons besoin de nous asseoir, car notre corps physique, pour certaines de ses fonctions, requiert une posture assise. 

Cette configuration anatomique nécessite, pour accomplir certaines actions, l’adoption de postures précises. Ainsi, l’énergie se manifeste différemment selon la posture adoptée. Nous pouvons même extrapoler en affirmant que tout ce qui nous entourechaque objet présent autour de nousest une forme d’énergie structurée, une énergie prenant diverses formes. 

J’en veux pour preuve ma vision vibratoire lors de mon expérience de mort imminente. Lors de ma sortie de corps, dans le bloc opératoire, j’ai bien vu les objets du bloc dans leur dimension purement énergétique. Une bonne partie de ces objets (meubles, étagères, accessoires...) se manifestaient sous forme d’ondes en vibration. Je les ai vus. 

Les objets sont l’expression tangible de ce processus de transformation de l’énergie en formes distinctes. C’est ce que nous appelons la densification : un phénomène par lequel l’énergie se condense, se matérialise, devient plus dense et acquiert une présence physique, jusqu’à se transformer en fauteuil, matelas, lit, train, avion, etc. 

C’est l’énergie qui se manifeste à travers la transformation. Et comme nous l’avons vu dans un article précédent, cette transformation s’opère par le biais de la conscience. Elle ne se produit pas spontanément, car l’énergie, en elle-même, n’est pas consciente. Elle a besoin de l’interférence de la conscience pour accomplir son processus de transformation. 

Ainsi, c’est la conscience qui rend possible la métamorphose de l’énergie en fauteuil, en table, en chaise. C’est par elle que l’énergie prend forme et devient objet. 

Par conséquent, le rapport que nous entretenons avec notre table change à mesure que notre perception évolue. Notre perception passe d’une vision matérialiste, fondée sur une information partielle, à une perception vibratoire, ancrée dans une compréhension plus complète de ce qu’est véritablement l’objet “table”. 

Dans notre perception première, nous pourrions dire que la table est simplement un objet à notre service, destiné à accueillir notre tasse de café. Mais dans une perception vibratoire et élargie, nous percevons la table comme une densification de l’énergie universelle, cette même énergie qui se condense pour créer d'autres objets servant notre expérience terrestre. 

La même énergie se densifie pour donner naissance au radiateur, aux fenêtres, aux murs, au toit, à la route que nous empruntons chaque jour, à la voiture que nous conduisons. C’est cette énergie qui prend la forme d’un avion pour nous permettre de traverser les continents. C’est encore elle qui engendre les arbres, les forêts, les montagnes, les planètes, les astres 

C’est une seule et même énergie qui se densifie pour donner naissance aux formes et aux objets qui nous entourent. À ce niveau de conscience, nous ressentons que notre rapport au monde matériel n’est plus uniquement matérialiste, instrumental ou utilitariste. Le monde autour de nous n’est pas simplement destiné à nous servir en tant que corps physique — ou, du moins, pas uniquement.

Certes, il nous permet d’accomplir certaines fonctions et de vivre des expériences, mais le rapport que nous entretenons avec lui va bien au-delà de cette simple utilité. C’est un rapport vibratoire, car ce qui nous entoure, c’est de l’énergie. Et qui est enveloppé par cette énergie ? La conscience. 

La conscience est baignée dans l’énergie. Elle est entourée de formes et d’objets, tous issus de cette même énergie. Ces éléments ne sont pas uniquement des éléments de l’environnement : ils rendent possible l’expérience de la conscience et contribuent à son épanouissement. 

Cependant, il ne s’agit pas de subordination. Ces objets ne sont pas seulement pour satisfaire nos besoins personnels. Ils participent activement à l’expérience unique que chaque être est appelé à vivre. 

Cela ne s’arrête pas . Car au-delà de leur aspect utilitaire — tables, chaises, fauteuils — ces objets incarnent l’énergie même de l’univers. 

Si nous nous trouvons dans un état de conscience limitée, alors effectivement, nous ne percevrons qu’un rapport de subordination purement matérialiste. Une table n’aura pour rôle que d’être utile. Une chaise ne servira qu’à nous asseoir. Dans cette perspective, la conscience reste enfermée, rigide, réduite à une vision exclusivement matérielle. 

Mais si nous considérons que la table est une forme d’énergienon plus seulement un support pour notre tasse de café, mais un ensemble de particules et d’ondes en vibration perpétuellealors notre perception change. En adoptant cette conception, nous développons une conscience élargie, ouverte à la dimension vibratoire de la matière, et donc connectée à l’énergie elle-même. 

Ainsi, notre perception devient vibratoire 

Il convient de considérer que toutes les formes qui nous entourent, ainsi que tous les objets que nous utilisons, sont des manifestations d’une réalité plus vaste, plus universelle, plus cosmique. Ils expriment le jeu de l’énergie consciente. La table, placée en face de moi, est un champ de vibrations, une combinaison de particules et d’ondes en mouvement. Elle représente de l’énergie condensée prenant la forme d’une table, car elle porte en elle une expérience à vivre. 

Mais cette chose qui prend cette forme, c’est l’énergie universelle. Un jour, la table cessera d’existersi ses pieds se détériorent et que nous ne pouvons plus la réparer, que ferons-nous ? Nous la démonterons et l’enverrons à la déchetterie. Ainsi, la table qui se trouvait dans notre chambre depuis vingt ans, disparaît en tant qu’objet. 

Elle se fragmente en plusieurs pièces, transportées vers la déchetterie, puis récupérées par une entreprise de recyclage. Ces morceaux seront traités, réduits en particules et permettront peut-être de créer une autre table, une chaise ou un autre objet. 

Donc, la table, en tant qu’objet matériel, n’existe plus. Mais qu’est-ce qui continue d’exister ? L’énergie. Qu’elle soit dans notre chambre, à la déchetterie ou dans l’entreprise de recyclage, elle reste énergie. 

C’est de l’énergie à laquelle on donne une forme, puis une autre. Elle circule, se transforme, prend des apparences différentes. Avant que nous achetions cette table, un menuisier a pris du bois, l’a découpé et en a fait une table. Mais le bois, qu’est-ce que c’est ? C’est de l’énergie. Et la forêt d’où il provient ? Elle aussi est de l’énergie. 

Le menuisier a ainsi donné une forme à cette énergie (le bois) : celle d’une table. Nous l’avons achetée, et nous l’avons utilisée quotidiennement pendant vingt ans. Puis, elle s’est détériorée. Nous l’avons démontée pièce par pièce, et nous l’avons déposée à la déchetterie. Plus tard, les employés d’une entreprise — des hommes, donc des consciences — sont venus la récupérer. 

Cette entreprise, spécialisée dans le recyclage, a transformé ces morceaux en un autre objet. La conscience (humaine) a ainsi redonné forme à l’énergie. 

En résumé, à un moment donné, le rapport que nous avons avec les objets change, car notre fréquence vibratoire change elle aussi. 

Et même après une expérience d’éveil, lorsque nous revenons à l’état précédentcelui nous percevons les objets matériels — nous ne les percevons plus de la même manière. Nous revenons avec une perception élargie, vibratoire, qui transforme en profondeur notre rapport au monde. 

Et c’est ainsi que naît une vision sage du réel. 

C’est ce que l’on appelle la sagesse. Et la boucle est bouclée : nous cessons de percevoir les objets qui nous entourent comme de simples entités isolées dans l’espace. Nous les reconnaissons désormais comme des énergies se manifestant sous diverses formes. Pourtant, tout est uni : tout est une seule et même énergie. 

Ainsi, la table, le fauteuil, le radiateur, le micro, la veilleuse, etc. — tous ces objets sont en réalité une seule chose : de l’énergie prenant différentes formes pour nous permettre de vivre cette expérience physique sur Terre. 

Le lien entre énergie et conscience est essentiellement vibratoire. L’énergie se transforme grâce à quoi ? Grâce à la conscience. Et pour qui ? Pour la conscience. Autrement dit, la conscience façonne l’énergie afin de vivre et d’exprimer son expérience en tant que conscience. Elle dispose pour cela de l’énergie cosmique comme support de manifestation. 

Et cette conscience s’incarne dans tous les êtres vivants : le menuisier qui conçoit et fabrique la table, le peintre qui la décore, le transporteur qui nous la livre, et enfin nous, qui l’utilisons. Vingt ans plus tard, la table se dégrade et devient inutilisable. Nous l’amenons à la déchetterie. , la conscience du gérant trie ses fragments dans différents conteneurs. Ensuite, ce sont les consciences des ouvriers du recyclage qui récupèrent ces morceaux pour les transformer. 

On constate que la conscience est omniprésente dans chaque être qui peuple la Terre et participe à un même processus de transformation. Même si ces consciences ne se connaissent pas, elles coopèrent silencieusement, car il s’agit en réalité d’un seul processus : celui qui mène du bois naturel jusqu’à l’objet finalisé, conçu pour permettre à la conscience de vivre son expérience. 

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