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Avec les mots qui vibrent, je me connecte à la fréquence de l'amour et du partage... J'informe l'univers sur nous et je chemine sur la voie du silence.

mercredi 2 juillet 2025

La loi du paradoxe “terrestre”

 





Eléments clés:

Nous vivons sur une planète Terre marquée par la prédominance du paradoxe. 

Il y a toujours un paradoxe entre un élément A et un élément –A. 

Dans la réalité, il n’y a qu’un seul état présent à la fois : soit A, soit –A. 

La conscience opérationnelle choisit un élément et jamais son contraire. 

La conscience mentale peut concevoir la coexistence des deux éléments opposés à l’état potentiel. 

Tout le travail d’éducation et d’éveil vise à cultiver la capacité à choisir et maîtriser un élément positif parmi les potentialités. 

À des fréquences plus élevées, proches de la lumière et de l’amour, le paradoxe disparaît et l’unité des contraires s’installe. 

***

 

Nous vivons sur une planète Terre marquée par la prédominance du paradoxe. Dans toutes les sphères de la vie, il existe toujours un rapport paradoxal entre un élément A et un élément contraire à A. En langage mathématique, il y a toujours un paradoxe entre un élément A et un élément –A. D’ailleurs, les mathématiques terriennes traduisent bien cette notion de paradoxe. 

Dans toutes les branches des mathématiques, cette notion existe : toutes les mathématiques sont structurées autour du paradoxe. Il y a toujours un élément zéro, neutre, qui n’est ni positif ni négatif, autour duquel se structurent des objets paradoxaux : +1/–1, +2/–2, +3/–3, etc. Nous retrouvons ce même paradoxe dans tous les domaines des sciences, de la connaissance, de la culture et de la société humaine. Nous vivons ce paradoxe au quotidien. 

Quand il fait froid, cela signifie qu’il ne fait pas chaud. Quand il fait mauvais, cela veut dire qu’il ne fait pas beau. Quand nous sommes malades, cela signifie que nous ne sommes pas en bonne santé. Quand nous avons chaud, cela signifie que nous n’avons pas froid. Inversement, quand nous avons froid, cela veut dire que nous n’avons pas chaud, etc.  

Mais, que signifie un paradoxe ? Il signifie qu’il y a deux choses qui ne se rencontrent pas, deux choses qui se contredisent, s’annulent, l’une élimine l’autre. Quand l’une existe, l’autre n’existe pas. Ainsi, quand il fait chaud, il ne fait pas froid. Quand il fait beau, il ne fait pas mauvais. Le paradoxe, c’est l’existence théorique de deux choses dont l’une élimine l’autre. Dans la réalité, il n’y a qu’un seul état présent à la fois : soit A, soit –A, soit la chaleur, soit le froid. Il ne peut pas exister en même temps la chaleur et le froid, la nuit et le jour. 

Si la nuit existe, le jour n’existe pas, et inversement. La relation paradoxale n’est donc que théorique, car elle définit un lien abstrait et irréel entre deux éléments contradictoires. Dans la réalité, il n’y en a qu’un seul qui existe à la fois. 

Donc, le chaud et le froid ne peuvent pas exister simultanément. Si le chaud est là, le froid ne l’est pas. Si le froid est là, la chaleur est absente. 

Sur le plan purement abstrait, les deux existent. Cela signifie que c’est notre mental ou notre cerveau qui conçoit l’existence de ces deux choses contradictoires reliées par un lien paradoxal. Cela n’existe que dans la sphère mentale. 

En revanche, en dehors de cette sphère mentale, qu’est-ce qui existe ? Dans la réalité tangible, ce qui nous entoure en dehors de nous-mêmes, il existe soit la chaleur, soit le froid ; soit la nuit, soit le jour ; soit +2, soit –2. Les deux ne peuvent pas coexister. À titre d’exemple, si nous avons devant nous deux arbres, nous ne pouvons pas dire qu’il y a en même temps moins deux arbres, car ils sont bel et bien là. Nous ne pouvons pas dire qu’ils sont présents et absents à la fois. 

C’est cela qui caractérise la conscience terrienne et c’est sa limite. Notre conscience terrienne est limitée par le fait qu’il ne peut pas y avoir une chose et son contraire simultanément. 

Il ne peut pas y avoir un arbre et son contraire. Si un arbre est là, alors il est là. Il ne peut pas y avoir le vide. Si, en revanche, il n’y a pas d’arbre, cela signifie qu’il n’y a aucun arbre présent. 

Notre conscience terrienne est une conscience limitée à un seul des deux contraires. Elle agit en fonction de la moitié de la réalité, d’un seul côté, et non des deux. Elle est paramétrée pour ne concevoir qu’un aspect du paradoxe et non le paradoxe dans sa totalité. 

Quand notre conscience terrienne constate qu’il fait chaud, elle ne peut pas en même temps constater qu’il fait froid. De même, lorsqu’elle constate qu’il fait nuit, elle ne peut pas constater qu’il fait jour. 

Nous pouvons extrapoler cela à toutes les sphères de la vie terrestre. S’il y a la guerre, il n’y a pas la paix. Et s’il y a la paix, cela signifie qu’il n’y a pas la guerre. C’est le fonctionnement même de la conscience sur Terre. 

Cette règle, selon nous, vaut pour l’activité de conscience liée à l’environnement, à nous-mêmes et à notre relation avec le monde. Notre conscience d’exister — physiquement, mentalement et spirituellement — ainsi que la conscience de notre environnement (quartier, ville, pays, continent, planète, univers) est traversée par ce paradoxe. 

Par exemple : si nous habitons en France, nous n’habitons pas ailleurs. Si nous habitons à Londres, nous ne sommes pas à Pékin. C’est toujours la présence d’une chose qui exclut son contraire. 

Cela vaut aussi pour nos émotions. Si nous sommes joyeux, nous ne sommes pas tristes. Si nous sommes stressés, nous ne sommes pas calmes. Cette structure paradoxale qui régit la vie sur Terre est une spécificité de la conscience terrienne. 

Est-elle extrapolable à d’autres sphères de l’univers ? Ce n’est pas certain. Car lorsqu’on change de fréquence, les lois changent. 

Par ailleurs, nous pouvons appliquer ce procédé à notre manière de réagir aux événements qui nous entourent. 

Par exemple, dans la vie sociale, quand quelqu’un vient pour nous embêter, nous portons un jugement sur son comportement. Nous disons que cette personne est mauvaise. Nous la classons alors dans la catégorie des "mauvaises personnes". 

Si cette personne est mauvaise, cela signifie qu’elle n’est pas bonne. Pour nous, dans notre jugement, si cette personne est mauvaise, cela veut dire qu’elle n’est pas bonne. Si nous disons qu’elle est bonne, cela signifie qu’elle n’est pas mauvaise. 

Nous pouvons dire que cette personne est serviable et qu’elle est gentille. Cela veut dire qu’il est impossible qu’elle soit à la fois serviable et méchante. Si nous disons qu’elle est gentille, elle est gentille. Elle ne peut pas être son contraire ; elle ne peut pas être méchante. Si nous disons qu’elle est égoïste, donc elle ne peut pas être altruiste. Ce n’est pas possible. 

Si elle est égoïste, elle l’est pleinement. Nous fonctionnons avec un mécanisme mental régi par la logique du paradoxe. Dès le matin, quand nous nous réveillons, nous disons : "Nous avons bien dormi." Si nous disons que nous avons bien dormi, nous ne pouvons pas dire, et notre interlocuteur ne peut pas comprendre, que nous avons mal dormi. 

Ensuite, nous allons sous la douche pour nous laver. Donc, si nous prenons une douche, nous sommes en train de la prendre. À ce moment-là, nous ne pouvons pas faire autre chose. Nous ne pouvons pas dire, ou notre interlocuteur ne peut pas entendre, que nous ne prenons pas de douche. 

Après, quand nous sortons de chez nous, nous rencontrons quelqu’un : “Bonjour, il fait beau aujourd’hui”. Donc, quand nous disons qu’il fait beau, nous sommes en train d’affirmer qu’il fait beau. Nous ne pouvons pas, et notre interlocuteur ne peut pas comprendre, qu’il fait froid ou qu’il fait mauvais. Il fait beau, un point c’est tout. 

Dans le réel, nous n’avons qu’un seul choix. Nous ne pouvons faire qu’un seul choix parmi deux éléments paradoxaux. Nous ne pouvons pas choisir les deux. Nous ne pouvons pas dire à quelqu’un en face de nous : "Il fait beau et mauvais à la fois." Quand il y a du soleil, quand il fait beau, il ne pleut pas.  

Dans notre conscience quotidienne – la conscience opérationnelle, celle qui permet de vivre sur Terre et de nous caler sur sa fréquence –, cette conscience choisit systématiquement un élément parmi deux. C’est toute la journée, toute la semaine, tous les mois, toutes les années. C’est en permanence que cette conscience fait un choix entre deux éléments. Si nous disons "nous travaillons", cela signifie que nous ne restons pas les bras croisés à ne rien faire. 

Si nous ne travaillons pas, si nous sommes dans une situation d’inactivité, alors nous disons : "Nous ne faisons rien." Et quand nous disons cela, personne ne peut entendre que nous sommes en train de faire quelque chose. 

La conscience opérationnelle est une conscience qui choisit un des deux éléments paradoxaux. Elle choisit une partie du paradoxe. Ainsi, même si, théoriquement, la pluie et le beau temps existent en même temps, dans la réalité, si la pluie est présente, il n’y a pas de beau temps, et inversement. 

Et au niveau de la conscience opérationnelle, c’est exactement ce qui se passe. La conscience opérationnelle nomme le beau temps ou bien la pluie en fonction de l’information qu’elle reçoit de son environnement. 

Cela vaut pour notre manière de réagir aux événements qui nous entourent. Ces événements peuvent être des comportements humains, mais aussi des phénomènes de l’environnement lui-même – naturel, industriel, social, etc. Dans notre réaction, nous devons choisir entre deux éléments opposés. 

Quand nous réagissons d’une manière, nous ne réagissons pas de manière contraire. Par exemple, si nous réagissons avec calme, nous ne pouvons pas dire en même temps que nous avons réagi avec nervosité. Et c’est pareil : si nous avons un interlocuteur en face de nous, il ne peut pas constater que nous avons réagi avec nervosité si nous avons été calmes. Cela vaut tout le temps, sauf en cas de différence d’interprétation. Mais de manière objective, si nous réagissons d’une certaine façon, cela signifie que nous n’avons pas réagi de la façon opposée.  

Si nous accueillons une personne, cela veut dire que nous ne l’avons pas rejetée. Quand nous accueillons, nous accueillons. Cela signifie que nous ne rejetons pas. Mais si nous rejetons une personne, cela veut dire que nous ne l’avons pas accueillie. Et nous ne pouvons pas dire le contraire. 

La conscience opérationnelle choisit un élément et jamais son contraire. Elle peut passer d’un élément à son contraire, mais à un instant donné, elle est sur un seul élément et pas deux en même temps. Il n’en est pas de même pour la conscience mentale. 

La conscience mentale a une existence neuronale ; elle produit de la pensée, des images, des réactions. À ce niveau-là, les deux éléments contraires coexistent : théoriquement, nous pouvons faire coexister chaleur et froid, nuit et jour, etc. En théorie, ces éléments sont présents, mais dans la pratique, si un élément est présent, son contraire est absent. 

Sur le plan mental, les deux états opposés sont possibles. En théorie, nous pouvons basculer dans la peur ou dans l’amour. C’est concevable. Chacun de nous peut basculer dans la peur ou dans l’amour. C’est une loi qui offre deux possibilités à tout être humain : basculer d’un côté ou de l’autre. 

Mais sur le plan du vécu, si nous basculons d’un côté, cela signifie que nous ne sommes pas de l’autre côté. Si nous basculons dans la peur, cela veut simplement dire que nous ne sommes pas dans l’amour. C’est cela, le plan du vécu. 

Cela veut dire quoi ? Cela veut dire que lorsque nous effectuons un travail sur nous-mêmes, pour peu que nous nous intéressions à ce qu’on appelle l'éveil spirituel, et que nous prenions conscience de la nécessité d’évoluer vers des émotions positives, des émotions liées à l’amour, alors nous entrons dans une quête. 

Et dans cette quête, nous développons des postures, des comportements, une vocation. Nous engageons un travail intérieur. Il y a donc une reprogrammation qui est menée afin que nous puissions accéder, pour résumer, à une autre personnalité – devenir une autre personne. 

Mais il arrive que dans la réalité, dans la confrontation avec les autres – surtout avec les autres, avec l’espèce humaine, nos semblables –, cela soit difficile à incarner. 

Il arrive que lorsque nous sommes confrontés à nos semblables - et nous insistons, car c’est là que réside toute la difficulté - nous n’arrivions pas à être ce que nous voulons devenir. Nous échouons à incarner cette nouvelle personne, parce qu’il semble y avoir une énergie, une force hostile, qui bloque ce processus de changement. 

Concrètement, un individu engagé dans un processus d’éveil personnel, qui cultive l’amour et s’efforce de se libérer de la peur et du rejet, peut néanmoins se retrouver, dans une situation réelle, confronté à une force opposée provenant de ses semblables. Cette force, souvent hostile, le pousse, voire le contraint, à réactiver d’anciens schémas et programmes. Elle le fait rechuter, le fait régresser, l’amenant ainsi à se replier sur des mécanismes qu’il pensait avoir dépassés. 

Par exemple, tu fais tout un travail sur toi pour rester dans l’accueil et l’acceptation, quel que soit l’autre et son comportement. 

Ce travail, tu le mènes à ton niveau, mais il est aussi entrepris collectivement dans les cercles de développement personnel, les espaces de spiritualité, les groupes qui œuvrent pour l’amour inconditionnel, l’éveil des consciences et la transformation intérieure. Pourtant, il arrive que, face à certaines situations concrètes ou à des comportements hostiles, ce travail ne tienne pas. Alors, tu te replies malgré toi dans des versions de toi-même que tu croyais avoir transcendées et définitivement laissées derrière toi. 

Il t’arrive parfois de retomber dans ces versions de toi-même, dans ces « logiciels » internes, et de réagir avec rejet, peur, défense, voire agressivité, etc. C’est précisément à cet endroit que se manifeste la vulnérabilité de ton comportement humain. Même un lama, un enseignant, un moine ou un être spirituel expérimenté peut, dans des situations hostiles, être déstabilisé et réactiver des schémas anciens qu’il croyait avoir complètement dépassés — des schémas qui ne lui ressemblent plus. 

Cela signifie que ces schémas existent toujours en puissance. Cela signifie même que tout existe en puissance : une chose et son contraire. 

Ces dimensions de toi-même n’ont pas disparu. Elles subsistent en toi, dans ta conscience ou, si l’on adopte le vocabulaire de la psychanalyse, dans ton inconscient. (Même si, au fond, l’inconscient en tant que tel reste une construction théorique.) 

Ces éléments potentiels peuvent ressurgir dès lors que certains déclencheurs les réveillent, les sollicitent, les attirent. Il suffit, par exemple, que quelqu’un fasse preuve d’agressivité envers toi pour que tu passes en mode défensif, que tu te protèges. Et pour cela, tu risques de mobiliser des mécanismes négatifs : rejet, agressivité, opposition, etc. 

Ainsi, ces mécanismes sont bel et bien présents en toi, à l’état latent. Invisibles, oui — mais toujours prêts à se réactiver face à une situation qui les convoque. 

On distingue deux niveaux : le niveau de la réalité, dans lequel une seule chose existe — et non son contraire, et le niveau de la potentialité, ou niveau théorique, où toutes les possibilités coexistent. Les deux éléments contraires y existent à l’état potentiel. 

Tout le travail d’éducation, d’auto-éducation, d’éveil et de développement personnel vise à cultiver des capacités de maîtrise et de contrôle de soi.  

Mais qu’est-ce que la maîtrise de soi ? Qu’est-ce que le contrôle de soi ? C’est précisément la capacité à contrôler nos choix sur le plan opérationnel, entre les différentes potentialités, les diverses options qui s’offrent à nous. C’est aussi la capacité, en quelque sorte, d’inhiber les choix non souhaitables. 

Ainsi, si je ne souhaite pas être agressif, c’est à moi de développer la capacité d’empêcher toute manifestation de cette tendance — autrement dit, d’empêcher l’activation du potentiel d’agressivité. C’est l’essence même du travail d’éducation et d’éveil que nous entreprenons dans un parcours de transformation intérieure. 

Tout le travail de méditation, de prière, de répétition de mantras, d’échanges, de discussions, d’introspection et de réflexion vise à développer ces aptitudes fondamentales — des capacités solides, concrètes — afin d’éviter, sur le plan opérationnel, d’être dépassé par des situations qui font émerger un potentiel non souhaitable, bien qu’il soit présent. 

Il est essentiel de le souligner : tout le cheminement spirituel a pour objectif de faire en sorte que, parmi les deux possibilités — négative et positive — seule la potentialité positive soit activée, et non la négative. Tel est le cœur du travail d’éducation spirituelle. 

Mais cela vaut également pour l'éducation en général : l'éducation sociale, culturelle, civique, etc. Tout le travail que les parents ou les enseignants accomplissent auprès des enfants vise à les orienter, à renforcer en eux une potentialité au détriment d’une autre. C’est toujours cela. 

Il s’agit de favoriser chez l’enfant la capacité à être bon, plutôt que la possibilité d’être mauvais. Et pourquoi ce travail est-il légitime, pourquoi s’impose-t-il ? Parce que ces deux possibilités coexistent dans la fréquence de la Terre : on peut être méchant ou bon. 

Ces deux pôles opposés existent bel et bien, et cela nous oblige à mener ce travail constant pour nous maintenir du "bon" côté, et ne pas basculer du “mauvais” côté. A chaque instant, nous pouvons pencher vers ce que nous ne souhaitons pas devenir. Il y a donc une tension permanente entre ce que nous voulons être et ce que nous sommes capables d’être. Nous voulons être bons, mais la possibilité d’être mauvais existe. Elle n’est ni tangible ni visible, mais elle existe en tant que potentialité réelle. 

À tout moment, nous pouvons devenir mauvais. Peu importe les efforts que nous avons fournis sur nous-mêmes, nous restons exposés à ce risque. Conscients ou non, nous pouvons, à tout moment, nous montrer méchants. Nous pouvons aussi, à tout moment, produire des réactions indésirables. Nous pouvons basculer dans la fréquence de la peur. Ces deux fréquences existent en nous : celle de l’amour et celle de la peur, en tant que réalités potentielles. 

Elles ne sont pas toujours matérialisées. Cependant, à tout moment, nous pouvons basculer dans l'une ou l'autre selon ce que nous sommes, notre maturité, notre éducation, mais aussi en fonction du monde qui nous entoure, qui parfois peut prendre le dessus. En effet, parfois l'environnement dans lequel je me trouve peut m'imposer des choix qui ne sont pas les miens. 

Parfois, et même assez souvent, les humains qui m'entourent et sont face à moi peuvent m'imposer un choix qui ne m'appartient pas et qui n'est pas du tout souhaitable. Pourtant, ils peuvent m'imposer ce choix. Il est donc essentiel de comprendre que le paradoxe existe en puissance : les éléments du paradoxe existent comme des potentialités, et à tout moment peut émerger l'un ou l'autre des deux éléments opposés sur un plan purement opérationnel. 

C'est la caractéristique de cette fréquence que l'on appelle la fréquence de dualité et d'opposition. 

*** 

Maintenant, si l'on souhaite vérifier le périmètre de ce phénomène, la question que nous pouvons poser est la suivante : à des fréquences différentes de celle de la Terre, cette loi existe-t-elle encore ? Enfin, est-ce que le paradoxe existe ailleurs ? Cela dépend de la fréquence dans laquelle nous nous situons. 

Il existe des fréquences non terriennes où ce paradoxe persiste, mais à des fréquences plus élevées, plus proches de la fréquence pure de l'amour et de la lumière, ce paradoxe disparaît. Autrement dit, plus on s'élève vers la fréquence de la lumière, moins ce paradoxe a de prise. En effet, on monte vers l'unité — l'unité des contraires, du chaud et du froid, du bien et du mal, etc. 

On s'élève vers l'unité de toutes les contradictions possibles ; la fréquence où ces contradictions n'ont jamais existé. Ainsi, le chaud et le froid, le froid et le chaud, ne sont pas en opposition. Dans cette fréquence, tout est en harmonie. Tous les phénomènes de l’univers sont en parfaite concordance. Le chaud et le froid sont une et même chose.  

 

 

 

 

 

 

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