- Notre environnement physique est une extension de l'énergie
- J'ai traversé le mur et perçu l’énergie qui le compose
- Le mur n’existait même pas, je ne voyais que des vibrations
- Deux types de perceptions : une perception sensorielle et une perception vibratoire
- Il ne s'agit pas de deux réalités différentes, mais de deux perceptions différentes
Mon EMI m’a amené à comprendre que, sur Terre, notre environnement physique est une extension de l'énergie. La table qui est en face de moi, sur laquelle est posé mon écran d'ordinateur, est une extension de l'énergie. C'est une matérialisation et une densification de l'énergie. Ça, c’est une information complète. La table est un objet qui existe réellement. Ça, ce n'est pas faux. Je ne le rêve pas. Ce n'est pas une illusion. En revanche, je dois préciser que c'est une densification de l'énergie. Cet objet est composé d'un ensemble de particules et d’ondes qui ne sont autre chose que de l'énergie. Ce sont des particules et ondes vibrant à une fréquence donnée. Nous ne les percevons pas avec nos sens, car ceux-ci sont limités. La physique quantique avait ouvert la voie vers cette compréhension. Je confirme que c’est juste. Je l’ai vu !
Le mur de mon bureau est perçu comme un objet rigide. Si je tente d’enfoncer ma main dedans, je me ferai mal. Ce n'est pas possible de le traverser à cette fréquence, mais uniquement à cette fréquence. En revanche, à une autre fréquence vibratoire, où je serai hors de mon corps physique, je peux traverser le mur et percevoir cette danse d'énergie dans laquelle baignent les particules et les ondes qui le composent. Je ne rêve pas. Je l’ai expérimenté moi-même lors de mon EMI.
Je suis sorti de mon corps et me suis retrouvé à l'état de pure conscience. J'ai traversé le mur de la clinique où j'étais hospitalisé. Pendant un long moment, j'ai clairement perçu la danse énergétique des ondes et des particules qui constituaient le mur. En réalité, le mur n’existait même pas : je ne voyais rien qui puisse être désigné comme un mur. À la place, je n'apercevais que des vibrations. C'était comme une immense étendue, où les particules et les ondes vibraient à des fréquences spécifiques : c'était tout ce que je percevais.
C'est une information que je rapporte à partir d'une expérience réelle que j'ai vécue personnellement. Je ne suis pas le seul à l'avoir vécue. Il y a au moins 4 à 5 % de la population mondiale qui vit ce genre d'expérience.
D'autres expériences personnelles, vécues notamment lors de sorties hors du corps, sont venues confirmer la réalité subtile des objets qui nous entourent. Ainsi, j'ai vu, par exemple, les arbres de mon village apparaître comme des masses d'étincelles lumineuses. L'image habituelle que nous avons d'un arbre – un tronc rigide, des branches solides, des feuilles – n'est qu'une perception partielle de sa véritable nature. Lors d'une de ces sorties, j'ai pu observer l'essence authentique d'un arbre, bien différente de ce que nos yeux physiques nous laissent croire. L'arbre n'est pas seulement un objet dur composé d'un tronc, de branches, de feuilles et de racines. L'arbre est une constellation d'étincelles lumineuses, une danse vibrante d'éclats qui résonnent à une fréquence précise, une symphonie de lumière.
Donc, ici, nous sommes confrontés à deux types d'informations. Le premier provient de notre perception sensorielle et de notre système neuronal. Cette information nous livre une image “illusoire”, offrant une connaissance partielle de l’arbre. Le second type d'information existe également, mais n'est pas accessible à tout le monde. Cette information ouvre à une tout autre perception : une perception énergétique.
Cette deuxième information révèle que tout est énergie. Ainsi, le tableau est complet. Au lieu de parler de deux informations — l'une fausse et l'autre vraie —, nous pouvons parler d'une information incomplète ou complète. De cette manière, il n'y a pas de contradiction.
Le mur que j'observe à travers mes capacités de perception, ce mur que je perçois comme rigide, existe effectivement sous cette forme à notre fréquence de réalité. Pourtant, simultanément, ce même mur n'est ni véritablement rigide ni dur : il constitue en réalité un amas de particules en vibration. Autrement dit, il s'agit d'une seule et même réalité, appréhendée sous deux perspectives différentes.
Nous ne parlons pas de deux choses différentes, mais bien d'une seule et même réalité. Le mur présente deux versions :
Une version perceptible par l'humain incarné dans un corps physique,
Une version plus subtile, accessible à la conscience non incarnée, ou extraneuronale.
Cette dernière ne peut être perçue qu'à travers un état vibratoire distinct, que l'on retrouve, semble-t-il, chez certains animaux, chez des humains d'origine non terrestre, ou encore chez des espèces non humaines.
Concrètement, il est nécessaire de changer de fréquence vibratoire pour accéder au second type d'information : celui qui révèle que tout est énergie. Pourtant, en réalité, il s'agit de la même chose. Par conséquent, le mur physique et rigide que je vois et que je touche n'est qu'une extension de l'énergie sous-jacente, que je ne perçois pas directement.
S'agit-il d'une énergie spécifique pour le mur et d'une autre pour la table ? Non, il s'agit de la même énergie, qui prend la forme d'un mur à un endroit et d'une table à un autre. Il n'existe qu'une seule et même énergie, qui adopte différentes formes en fonction des besoins et des perceptions. Ainsi, la même énergie qui, à un endroit, prend la forme d'un mur, se transforme plus loin en une table. Entre le mur et la table, cette énergie unique prend également la forme d'un fauteuil, d'une chaise, du sol, et ainsi de suite.
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