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Avec les mots qui vibrent, je me connecte à la fréquence de l'amour et du partage... J'informe l'univers sur nous et je chemine sur la voie du silence.

mardi 1 juillet 2025

Civilisation de la matière: centre commercial, centre d'énergie !...








Un centre commercial est constitué de 95 % de vide : c’est de l’énergie ! 

Notre civilisation accorde une place prépondérante à la matière : elle occupe 98 % de notre vie. 

Le vide entre les objets est l’énergie immatérielle non perçue. 

Après la mort, nous serons uniquement conscience, dans une réalité énergétique immatérielle. 

C’est de l’énergie immatérielle que tout provient, y compris nous-mêmes. 



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Dans notre perception du réel, nous avons distingué, dans les précédents articles du blog, entre une perception matérialiste partielle et une perception énergétique intégrale. Néanmoins, voici un deuxième aspect à considérer: la perception partielle enferme notre conscience, tandis que la perception énergétique l'ouvre. 

La perception matérialiste renferme notre conscience, car elle résulte de la synthèse de nos perceptions sensorielles limitées et de l'activité restreinte de notre système neuronal. Inévitablement, cette perception est à la fois limitée et limitante, d’autant plus qu’elle se concentre sur un aspect – que l’on pourrait qualifier de dérisoire – de l'énergie ; la matière. 

Cette perception enferme notre conscience dans la matière. C'est précisément ce que nous observons dans notre conscience collective, notamment au cours des deux derniers siècles, où la matière et la pensée matérialiste prédominent, tant dans notre vie sociale et économique que dans la recherche scientifique. 

Notre conscience ainsi enfermée devient prisonnière de La perception matérialiste que nous véhiculons. Cette perception circule dans notre société et y prédomine, à tel point que nous avons oublié que tout ce que nous voyons, touchons et ressentons dans notre vie quotidienne sur Terre n'est qu'une infime fraction de ce qui existe réellement. Dans cet état de confinement, notre conscience ne perçoit rien d'autre que ce que lui permettent nos perceptions sensorielles et neuronales. 

Cette conscience confinée n'a pas accès à l'énergie. Elle est entièrement subordonnée à la matière. Dans cette réalité, tout est attiré par la fréquence basse et lourde qui caractérise la matière. 

Dans notre civilisation, nous accordons une place prépondérante à la matière. La matière représente près de 98 % de notre existence personnelle, familiale, professionnelle et sociale.  

Bien entendu, cela nous a permis d’innover, de parvenir à un confort matériel et de créer des outils et des objets qui facilitent notre vie. Nous avons accordé une grande attention à notre corps physique, que nous avons choyé et c’est une démarche positive en soi. 

Cependant, nous nous sommes détachés de l'énergie, de ce vaste océan énergétique qu'est l'existence elle-même. Un renfermement s'est produit, semblable à une cage où nous tournons en rond autour de la matière, de notre corps physique, de nos intérêts matériels, de notre voiture, de nos vacances, etc. 

Cette vision engendre la souffrance, comme nous l’avons développé dans les articles précédents. Nous avons montré que La perception matérialiste est une source de souffrance pour notre conscience et pour nous en tant qu’êtres humains. Cette réalité engendre une subordination de la conscience au mental, entraînant sa paralysie. Il est déplorable de constater que beaucoup d’entre nous, profondément matérialistes, croient que l'absence de conscience est bénéfique pour notre bien-être. 

Pour beaucoup, moins nous nous interrogeons sur l’essence de la matière, de l’énergie, de l’âme ou de l’au-delà, mieux nous nous portons. Il existe un bien-être éphémère qui s'incarne dans les lois qui régissent nos sociétés. Ce bien-être “matériel” nous coupe de l'énergie. 

*** 

Exemple : passer du temps dans un centre commercial à faire du shopping constitue, en soi, un plaisir. Alors qu’autrefois, faire ses courses était une activité banale, sans autre but que celui de s’approvisionner. Ce qui avait réellement de l'importance était l'interaction sociale qu'elle favorisait. Autrefois, nous allions au marché non seulement pour acheter, mais aussi pour rencontrer les gens, discuter avec eux et créer de l’interaction sociale. 

Aujourd'hui, au supermarché, nous n'échangeons avec personne. Mais l'acte de passer deux ou trois heures à déambuler entre les rayons d'un supermarché ou entre les boutiques d’un centre commercial, en lui-même, devient une source de plaisir. Ça se prévoit à l'avance et il y a tout un rituel derrière. 

Nous générons des bouchons, nous produisons de la pollution, et nous participons à l’augmentation du stress. Il y a trop de monde qui arrive en même temps, au même endroit. C'est un plaisir d'aller dans un centre commercial pour y passer toute un après-midi, voire une journée : manger sur place, acheter des vêtements, des objets, des cadeaux, etc. C’est vraiment un plaisir hautement stressant ! 

C'est un rituel très ancré qui marque notre société de consommation. Il s’agit d’un “plaisir” que notre civilisation a pu créer artificiellement. Les générations nées dans cet environnement n’ont connu que ce modèle. Donc, si nous leur parlons de l'au-delà, de l’après-vie, de l'âme ou de ce qui se passe après la mort, si nous osons évoquer ce qui existe en parallèle mais qui n’est pas visible, la discussion risque de tourner court. 

Nous avons affaire à des mentalités empreintes de ce modèle unique. Il n’y a pas de marge pour se connecter à la conscience. Celle-ci est devenue marginale. 

Et pourquoi est-elle absente ? Parce que justement, nous sommes dans un cas de figure où notre attention est focalisée sur l'environnement matériel qui nous entoure. Mais nous savons que cet environnement matériel est aussi immatériel. C'est de l’énergie qui n’est pas matérielle, qui est subtile. Nous ne la voyons pas, nous ne la touchons pas, mais sans son existence, il n’y aurait même pas eu de centres commerciaux. 

Les centres commerciaux sont le produit, l'incarnation de l'énergie. C’est de l'énergie investie dans leur conception, leur construction et leur fonctionnement. Cette dimension énergétique n'est pas perçue par le consommateur que nous sommes. Ce que nous avons en tête, c'est la partie visible : un centre commercial avec un tas de produits disponibles à la vente.  

Le soir, nous invitons des amis et nous parlons de notre expérience dans tel ou tel centre commercial. Nous nous limitons à l'aspect visible, à l'aspect matériel de cette énergie cachée que nous ne voyons pas. Et comme nous ne la voyons pas, nous n’en parlons pas. Et comme nous n’en parlons pas, nous ne savons même pas qu’elle existe. 

Est-ce qu’il nous viendrait à l’esprit de parler du vide qui sépare les marchandises ? En parlant d’une boutique de vêtements, par exemple, est-ce que nous nous intéresserions au vide qui occupe l’espace entre les vêtements, la caisse, les étalages, le mobilier, les corps physiques des vendeurs et vendeuses, etc. ? Eh bien, c’est à cet endroit que se trouve l’énergie invisible et non densifiée. 

Personne ne peut logiquement nier l’existence de ce vide. C’est ce vide qui permet aux articles d’être exposés individuellement et séparément. Et c’est aussi ce vide qui leur permet d’exister en tant qu’éléments distincts. C’est ce vide qui nous permet, par exemple, de prendre une chemise dans nos mains sans que le reste du magasin ne suive. 

Ce vide est l’énergie immatérielle. Mais comme nous ne savons pas qu’elle existe, nous sommes donc coupés de la réalité du centre commercial. Nous n’en percevons que la façade, qui ne constitue pas plus de 5 % de ce qu’est un centre commercial. Les 95 % restants, ce sont de l’énergie immatérielle : le vide. 

La perception que nous avons du centre commercial est donc incomplète. Elle ne traite que de la partie visible.  Elle nous enferme dans la partie matérielle de l’énergie et nous empêche de percevoir la partie immatérielle, bien plus importante. Cette perception incomplète et limitante est véhiculée par notre éducation, notre culture, nos médias, etc. C’est ce qu’on nous enseigne. 

Toutefois, face à cette perception incomplète et limitante, il existe une perception “ouvrante” : une perception qui ouvre notre conscience à l’énergie. 

La perception qui ouvre la conscience à l’énergie, c’est la perception énergétique c’est-à-dire celle qui a pour objet non pas uniquement la matière visible, mais la réalité vibratoire de la matière. C’est notre conscience qui sait que la table que nous voyons n’est qu’un aspect visible d’une réalité d’énergie existant dans des dimensions différentes, auxquelles nos perceptions sensorielles et nos capacités neuronales n’ont pas accès. 

*** 

L’accès à cette réalité subtile est possible à travers le canal de l’intuition. C’est ce canal dont nous disposons sur Terre pour approcher cette énergie. Mais une fois morts, une fois désincarnés, nous y aurons accès librement. Il n’y aura rien d’autre que cette réalité énergétique. 

Nous ne vivrons plus dans une société composée d’êtres humains incarnés dans des corps physiques, habitant des maisons, des immeubles ou des appartements, se déplaçant en train ou en voiture. Nous évoluerons dans une autre dimension, où tout cela aura totalement disparu. Il existera autre chose. 

Et quelle est cette chose ? Il s’agit d’une énergie sans forme, purement subtile et immatérielle. C’est une énergie non manifestée et c’est dans cette réalité énergétique que nous aurons accès à l’essence même de l’univers. C’est de cette dimension que la matière tire son origine : la source de tous les objets, de tous les êtres qui nous entourent sur Terre – y compris de nous-mêmes. 

Ce qui changera, c’est que nous n’existerons plus à travers un corps physique. Nous ne dépendrons plus de nos sens ni de notre activité neuronale. Nous serons uniquement conscience. Rien d’autre que cela. 

 

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