La peur, produit de l'incarnation
Cultiver l'amour passe d'abord par la dissolution de la peur, cette force qui nous empêche de nous aligner avec notre vibration naturelle. Pour accéder à cet alignement, il faut s'affranchir de toutes les peurs, en remontant, autant que possible, à la toute première : celle que nous ressentons à l’instant même où nous nous incarnons dans le corps physique. Cette incarnation suscite une première vibration de peur, née de la séparation d’avec notre être subtil, cette dimension immatérielle de nous-mêmes. C'est la peur de perdre le lien, de ne jamais le retrouver, de rester en errance sans jamais revenir « chez soi ».
N'avez-vous jamais remarqué qu'au fil de notre vie, nous passons notre temps à chercher notre « soi » ? Comme si, depuis la naissance, nous nous étions coupés de notre essence subtile, et depuis, nous aspirons à la réintégrer. Nous recherchons cet être au-delà du corps physique, cet être libre et universel que nous savons exister quelque part, mais qui semble toujours nous échapper.
Nos projets, nos objectifs, et même nos actions les plus ordinaires visent tous, en profondeur, à retrouver cette cohérence intérieure. C’est ce que l'on appelle la « réalisation de soi ». Mais qu'est-ce que ce « soi » ? C’est l’aspiration à retrouver notre être authentique, cet état d'unité où il n'y a plus de séparation. La « réalisation de soi » est, en fin de compte, une retrouvaille. Elle consiste à reconnecter notre « être énergétique » en traversant les expériences du corps et les défis de l'incarnation, qui entraînent une séparation de notre dimension universelle.
La peur, construction collective
La peur est une construction collective, une sorte de chaîne invisible que nous nous transmettons. Dès notre plus jeune âge, nous absorbons les peurs de nos parents, que nous reproduisons et transmettons à notre tour. Nous apprenons à craindre l’échec, la honte, l’insuffisance, la perte de statut ou de sécurité. Au travail, par peur de perdre notre emploi, nous acceptons l’inacceptable. Nous diffusons ces peurs à travers nos relations familiales, sociales et professionnelles.
Alors, comment arrêter de subir ces peurs et cesser de les transmettre aux autres ? Voilà le défi de la culture d’amour.
Cultiver l'amour ne consiste pas à chercher quelque chose à atteindre, mais à déconstruire quelque chose qui nous entrave déjà. Il s’agit d’ôter les couches de peur qui obscurcissent notre lumière intérieure. En réalité, nous sommes des êtres d'amour, des manifestations terrestres de cette énergie lumineuse. Mais, ici-bas, nous avons oublié cette essence. Nous vivons dans une dualité qui nous sépare de notre nature véritable, engendrant la peur.
Nous sommes comme dans un rêve : un rêve peuplé de peurs et de limitations. Nous nous sommes coupés de notre essence profonde en nous incarnant dans le monde physique, créant ainsi la première vibration de peur. Cette séparation originelle marque le début de toutes les autres peurs que nous développons collectivement tout au long de notre existence terrestre.
La compétition, la concurrence, la jalousie, la tristesse, sont toutes des expressions de cette peur fondamentale – la peur de la perte, de l'échec, de la dévalorisation. L'arbre de la peur a de nombreuses branches, mais à sa racine se trouve cette angoisse originelle née de notre incarnation.
Comment se libérer de la peur ?
La spiritualité éveille les consciences et cultive la vibration de l'amour inconditionnel entre les êtres humains. Cette culture de l'amour passe par une déconstruction profonde de toutes les peurs qui nous empêchent de vibrer pleinement dans l'amour. Ces peurs sont ancrées en nous, façonnées par notre histoire, nos cultures, nos structures sociales, économiques et politiques. Elles imprègnent notre façon de voir le monde, influençant nos comportements et nos perspectives.
Changer de regard et de fréquence
La démarche pour se libérer de cette peur est double : vibratoire et mentale. Sur le plan vibratoire, il s'agit de changer notre fréquence intérieure pour revenir à celle de l'amour inconditionnel. Au niveau mental, nous devons déconstruire les illusions et croyances qui entretiennent cette peur, ce « logiciel » de séparation.
Le mental entretient souvent la peur, notamment dans des situations de compétition, où il nous pousse à « être le meilleur » ou à « gagner à tout prix ». Dans cet état d’esprit, nous avons peur de perdre, alors qu’en réalité, hors de cette excitation mentale, nous ne sommes ni gagnants ni perdants.
Nous devons reconnaître que ceux avec qui nous entrons en concurrence ou en conflit sont eux aussi pris dans cette même illusion. Nous partageons cette « chambre de rêve » où nous avons oublié notre unité profonde. Lorsque nous nous éveillons, nous comprenons que nous sommes tous des facettes d'une même essence, une conscience unique. C’est ce qu’une expérience de mort provisoire m’a permis de voir : dans les hautes fréquences de la non-dualité, nous ne sommes ni en conflit ni en compétition. Nous sommes tous unis dans l’amour.
La prise de conscience que nos relations conflictuelles, nos peurs et nos guerres proviennent d’une fréquence illusoire peut nous libérer. Nous sommes endormis dans un monde façonné par des peurs héritées, des schémas mentaux qui nous divisent. Pour réveiller cette conscience d'amour, nous devons désactiver ce « logiciel » de peur et laisser vibrer notre cœur.
Reconnecter avec l'unité
Notre parcours terrestre ressemble à une quête, une aventure parfois errante, où chaque étape nous rapproche du chemin de retour à la maison. La spiritualité, dans cette perspective, doit offrir un éclairage qui transcende les efforts quotidiens des humains pour retrouver ce chemin d'unité. Elle doit servir de guide pour relier nos objectifs matériels à notre destinée « extra-terrestre », celle qui vise à retrouver l'unité de notre être en dépassant la dualité et la séparation.
Il s'agit ici d'adopter un regard spirituel, qui nous aide à restaurer notre fréquence d'amour et à dissiper les peurs qui nous aveuglent. Ces peurs – peur de ne pas être aimé, de perdre quelqu’un ou quelque chose, de souffrir, de mourir, de manquer de ressources ou de sécurité – sont autant d’obstacles qui dictent nos choix et nous retiennent. Elles obscurcissent notre vision et nous éloignent de l’amour.
La déconstruction de ces peurs est un chemin long, car il s'agit d'un processus de recherche d’unité et de cohérence intérieure. Une fois ce chemin parcouru, nous accédons à un état d’éveil qui mène à l’amour inconditionnel. C’est alors que l’univers, dans son mouvement harmonieux, nous offre des situations propices à l’amour.
Et si l'humanité tout entière s'y mette ?
Si l’humanité entière atteignait cet état d’éveil, une construction collective de l’amour serait possible. Sur un plan individuel, se libérer de la peur est déjà un grand pas ; mais pour évoluer en profondeur, cette vibration doit être partagée avec tous. Nous ne pourrons changer de fréquence collectivement que si chacun participe à cet éveil. En accédant à cette vibration universelle, nous changerons de fréquence, de dimension. Les conflits ne seront plus nécessaires pour résoudre nos problèmes ; notre approche des défis sera tout autre. Nous aurons cultivé une nouvelle manière d'être, fondée sur l’amour, et cet amour teintera toutes les sphères de la vie. L'amour guidera nos comportements, nos attitudes, nos décisions.
Dans ce futur, jamais nous ne prendrons de décision pour entrer en lutte ou en concurrence avec autrui. Ce sera proscrit. Par ce partage de l’amour, nous bâtirons un jour un monde uni, cohérent, un monde de lumière et d’amour.
Cultiver l'amour passe d'abord par la dissolution de la peur, cette force qui nous empêche de nous aligner avec notre vibration naturelle. Pour accéder à cet alignement, il faut s'affranchir de toutes les peurs, en remontant, autant que possible, à la toute première : celle que nous ressentons à l’instant même où nous nous incarnons dans le corps physique. Cette incarnation suscite une première vibration de peur, née de la séparation d’avec notre être subtil, cette dimension immatérielle de nous-mêmes. C'est la peur de perdre le lien, de ne jamais le retrouver, de rester en errance sans jamais revenir « chez soi ».
N'avez-vous jamais remarqué qu'au fil de notre vie, nous passons notre temps à chercher notre « soi » ? Comme si, depuis la naissance, nous nous étions coupés de notre essence subtile, et depuis, nous aspirons à la réintégrer. Nous recherchons cet être au-delà du corps physique, cet être libre et universel que nous savons exister quelque part, mais qui semble toujours nous échapper.
Nos projets, nos objectifs, et même nos actions les plus ordinaires visent tous, en profondeur, à retrouver cette cohérence intérieure. C’est ce que l'on appelle la « réalisation de soi ». Mais qu'est-ce que ce « soi » ? C’est l’aspiration à retrouver notre être authentique, cet état d'unité où il n'y a plus de séparation. La « réalisation de soi » est, en fin de compte, une retrouvaille. Elle consiste à reconnecter notre « être énergétique » en traversant les expériences du corps et les défis de l'incarnation, qui entraînent une séparation de notre dimension universelle.
La peur, construction collective
La peur est une construction collective, une sorte de chaîne invisible que nous nous transmettons. Dès notre plus jeune âge, nous absorbons les peurs de nos parents, que nous reproduisons et transmettons à notre tour. Nous apprenons à craindre l’échec, la honte, l’insuffisance, la perte de statut ou de sécurité. Au travail, par peur de perdre notre emploi, nous acceptons l’inacceptable. Nous diffusons ces peurs à travers nos relations familiales, sociales et professionnelles.
Alors, comment arrêter de subir ces peurs et cesser de les transmettre aux autres ? Voilà le défi de la culture d’amour.
Cultiver l'amour ne consiste pas à chercher quelque chose à atteindre, mais à déconstruire quelque chose qui nous entrave déjà. Il s’agit d’ôter les couches de peur qui obscurcissent notre lumière intérieure. En réalité, nous sommes des êtres d'amour, des manifestations terrestres de cette énergie lumineuse. Mais, ici-bas, nous avons oublié cette essence. Nous vivons dans une dualité qui nous sépare de notre nature véritable, engendrant la peur.
Nous sommes comme dans un rêve : un rêve peuplé de peurs et de limitations. Nous nous sommes coupés de notre essence profonde en nous incarnant dans le monde physique, créant ainsi la première vibration de peur. Cette séparation originelle marque le début de toutes les autres peurs que nous développons collectivement tout au long de notre existence terrestre.
La compétition, la concurrence, la jalousie, la tristesse, sont toutes des expressions de cette peur fondamentale – la peur de la perte, de l'échec, de la dévalorisation. L'arbre de la peur a de nombreuses branches, mais à sa racine se trouve cette angoisse originelle née de notre incarnation.
Comment se libérer de la peur ?
La spiritualité éveille les consciences et cultive la vibration de l'amour inconditionnel entre les êtres humains. Cette culture de l'amour passe par une déconstruction profonde de toutes les peurs qui nous empêchent de vibrer pleinement dans l'amour. Ces peurs sont ancrées en nous, façonnées par notre histoire, nos cultures, nos structures sociales, économiques et politiques. Elles imprègnent notre façon de voir le monde, influençant nos comportements et nos perspectives.
Changer de regard et de fréquence
La démarche pour se libérer de cette peur est double : vibratoire et mentale. Sur le plan vibratoire, il s'agit de changer notre fréquence intérieure pour revenir à celle de l'amour inconditionnel. Au niveau mental, nous devons déconstruire les illusions et croyances qui entretiennent cette peur, ce « logiciel » de séparation.
Le mental entretient souvent la peur, notamment dans des situations de compétition, où il nous pousse à « être le meilleur » ou à « gagner à tout prix ». Dans cet état d’esprit, nous avons peur de perdre, alors qu’en réalité, hors de cette excitation mentale, nous ne sommes ni gagnants ni perdants.
Nous devons reconnaître que ceux avec qui nous entrons en concurrence ou en conflit sont eux aussi pris dans cette même illusion. Nous partageons cette « chambre de rêve » où nous avons oublié notre unité profonde. Lorsque nous nous éveillons, nous comprenons que nous sommes tous des facettes d'une même essence, une conscience unique. C’est ce qu’une expérience de mort provisoire m’a permis de voir : dans les hautes fréquences de la non-dualité, nous ne sommes ni en conflit ni en compétition. Nous sommes tous unis dans l’amour.
La prise de conscience que nos relations conflictuelles, nos peurs et nos guerres proviennent d’une fréquence illusoire peut nous libérer. Nous sommes endormis dans un monde façonné par des peurs héritées, des schémas mentaux qui nous divisent. Pour réveiller cette conscience d'amour, nous devons désactiver ce « logiciel » de peur et laisser vibrer notre cœur.
Reconnecter avec l'unité
Notre parcours terrestre ressemble à une quête, une aventure parfois errante, où chaque étape nous rapproche du chemin de retour à la maison. La spiritualité, dans cette perspective, doit offrir un éclairage qui transcende les efforts quotidiens des humains pour retrouver ce chemin d'unité. Elle doit servir de guide pour relier nos objectifs matériels à notre destinée « extra-terrestre », celle qui vise à retrouver l'unité de notre être en dépassant la dualité et la séparation.
Il s'agit ici d'adopter un regard spirituel, qui nous aide à restaurer notre fréquence d'amour et à dissiper les peurs qui nous aveuglent. Ces peurs – peur de ne pas être aimé, de perdre quelqu’un ou quelque chose, de souffrir, de mourir, de manquer de ressources ou de sécurité – sont autant d’obstacles qui dictent nos choix et nous retiennent. Elles obscurcissent notre vision et nous éloignent de l’amour.
La déconstruction de ces peurs est un chemin long, car il s'agit d'un processus de recherche d’unité et de cohérence intérieure. Une fois ce chemin parcouru, nous accédons à un état d’éveil qui mène à l’amour inconditionnel. C’est alors que l’univers, dans son mouvement harmonieux, nous offre des situations propices à l’amour.
Et si l'humanité tout entière s'y mette ?
Si l’humanité entière atteignait cet état d’éveil, une construction collective de l’amour serait possible. Sur un plan individuel, se libérer de la peur est déjà un grand pas ; mais pour évoluer en profondeur, cette vibration doit être partagée avec tous. Nous ne pourrons changer de fréquence collectivement que si chacun participe à cet éveil. En accédant à cette vibration universelle, nous changerons de fréquence, de dimension. Les conflits ne seront plus nécessaires pour résoudre nos problèmes ; notre approche des défis sera tout autre. Nous aurons cultivé une nouvelle manière d'être, fondée sur l’amour, et cet amour teintera toutes les sphères de la vie. L'amour guidera nos comportements, nos attitudes, nos décisions.
Dans ce futur, jamais nous ne prendrons de décision pour entrer en lutte ou en concurrence avec autrui. Ce sera proscrit. Par ce partage de l’amour, nous bâtirons un jour un monde uni, cohérent, un monde de lumière et d’amour.
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