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Avec les mots qui vibrent, je me connecte à la fréquence de l'amour et du partage... J'informe l'univers sur nous et je chemine sur la voie du silence.

dimanche 18 mai 2025

Enseignements d’une EMI confrontés à la neuroscience

 



Eléments clés

  1. Nos organes sensoriels nous connectent à la matière, pas à l’énergie. 

  1. Lors de mon EMI, j’ai expérimenté l’énergie immatérielle.  

  1. Le vide perçu par notre cerveau n’est pas réellement vide : il est rempli d’énergie. 

  1. Notre système sensoriel est limité par sa configuration biologique. 

  1. Notre perception de la matière n’est pas fausse, mais incomplète.  

 

Introduction :  

Depuis des siècles, l'humanité s'interroge sur la nature véritable de la réalité. Est-ce que ce que nous voyons, entendons, touchons ou ressentons correspond à l’essence même de ce qui existe ? Bon nombre de penseurs, de scientifiques et de chercheurs spirituels suggèrent que la réalité matérielle, telle que perçue par nos sens, n’est qu’une illusion. Mais cette vision, bien qu’intrigante, ne résonne pas avec ce que j’ai moi-même expérimenté. À travers une expérience de mort imminente (EMI), puis au fil de mes voyages astraux et de ma connexion quotidienne avec la nature, j’ai perçu une vérité plus vaste : ce que nos sens nous montrent n’est pas faux, mais simplement partiel. Dans ce texte, je propose une autre lecture de la perception humaine, qui réconcilie la matière et l’énergie, la science et la conscience. 

*** 

Notre perception du monde est fréquemment partielle et limitée, en raison de la nature de nos capacités sensorielles. Ces dernières n'ont pas été développées pour appréhender l'intégralité de l'existence. Depuis l'apparition de l'Homo sapiens, nos facultés perceptives ont évolué dans un cadre précis, mais elles demeurent intrinsèquement restreintes. En particulier, nos organes sensoriels, tels que le toucher, l'odorat, l'ouïe, etc., nous informent uniquement sur la dimension "matérielle" et tangible des objets. En revanche, ces mêmes organes ne nous permettent pas d'accéder à la dimension énergétique, qui constitue l'essence même de ces objets. 

Personnellement, je suis convaincu de l’existence de l’énergie comme force motrice du cosmos, présente dans tout ce qui est, de la petite table de ma chambre à la galaxie la plus lointaine que nous puissions concevoir. Je le sais par mon expérience au sein des différentes dimensions de l’univers, aussi bien lors de mon EMI que lors de mes “voyages astraux”. Je le sais grâce à mon vécu dans la fréquence de l’amour inconditionnel et de la lumière, où tout n’est qu’énergie. Je le sais parce que je l’ai ressentie dans mes propres vibrations. J’ai expérimenté des états vibratoires uniques, qui m’ont connecté directement à cette énergie. Je le sais parce que je suis cette énergie, et plus encore : je ne suis rien d’autre que cette énergie. 

Je le sais aussi grâce à mon observation personnelle ici sur Terre. J’entretiens une connexion profonde et constante avec la nature. Je me rends régulièrement dans des espaces naturels, au cœur de la campagne. Quand le ciel est entièrement bleu, j’observe attentivement ce que l’on pourrait appeler le vide, en scrutant l’espace qui me sépare du ciel. Or, il se trouve que cet espace n’est pas réellement vide. J’y distingue une sorte de "vapeur subtile" ou de "brouillard léger" qui semble remplir l’air. C’est à peine visible, mais je le perçois clairement. Est-ce de l’énergie ? Et pourquoi ne le serait-ce pas ?  

Nous sommes entourés en permanence par l'énergie et nous en dépendons pour notre vie. Nous-mêmes, nous sommes des manifestations de cette énergie, des matérialisations d'une forme particulière de celle-ci. Or, nous ne pouvons la percevoir directement par nos sens ici sur terre, contrairement aux autres dimensions de l’univers. Cette limitation est inhérente à la manière dont nos sens et notre système nerveux ont été configurés par les êtres évolués qui nous ont conçus, il y a bien des millions d’année.   

Si nous étions dotés d'une capacité de perception complète, nous aurions accès à une information exhaustive concernant la réalité énergétique de l'environnement qui nous entoure, notamment l'espace que nous traversons, le matin au réveil, entre notre chambre et notre salle de bain. Dans un tel état, il deviendrait évident que cet espace n'est pas vide, mais saturé d'énergie. En réalité, ce que nous traversons n'est pas du vide. Le vide, en tant qu'entité physique, n'existe pas ; ce n'est qu'une abstraction théorique dépourvue de fondement réel. L'énergie, quant à elle, constitue une réalité omniprésente. Cependant, cette énergie échappe à la perception sensorielle directe. 

L'énergie ne peut être perçue par nos organes sensoriels qui nous informent sur notre environnement matériel : elle ne peut être perçue par l'odorat, la vue, l'ouïe ou le toucher. En conséquence, elle échappe à toute forme d'information sensorielle incomplète. Elle vibre sur des fréquences qui échappent à notre champ de perception direct. 

Les capacités sensorielles, essentielles à la prise de conscience de notre existence dans notre environnement matériel, jouent un rôle crucial dans nos vies quotidiennes. Par exemple, au matin, lorsque nous nous réveillons, ce sont nos sens qui nous permettent de reconnaître notre position, d’identifier le contact du lit et de la couverture sur notre corps, et ainsi de prendre conscience de notre état de repos. Au moment où nous nous levons pour nous diriger vers la salle de bain, c'est à travers une série d'objets physiques – murs, sol, portes, meubles – que nous naviguons dans l'espace. Si ces capacités sensorielles faisaient défaut, il serait raisonnable de penser que nous ne serions pas conscients de notre existence ni de nos actions. Nous ne saurions pas que nous sommes allongés, que nous venons de nous réveiller ou que nous nous dirigeons vers la salle de bain. Ces perceptions sont les fondements mêmes de notre conscience de notre existence dans notre environnement immédiat. 

Voici comment Lionel Naccache,  résume le circuit par lequel nous nous informons sur notre environnement matériel, dans le hors-série n°127 de la revue “Pour la science”, mai/juin 2025:  

“Être conscient requiert deux conditions absolument indispensables. Tout d'abord le cerveau doit être dans un mode d'éveil, que les vastes ensemble de neurones du cortex cérébral doivent être activés. Ces conditions reposent sur un réseau de région sous-corticale qui composent la formation réticulée et qui naissent dans le tronc cérébral. 

Le trône cérébral est la structure du système nerveux central situé immédiatement au-dessus la moelle pépinière. La formation réticulée y nait et se prolonge jusqu'au thalamus... et à d'autres noyaux voisins... Comme le neurologue d'origine portugaise Antonio Damasio l'a très bien décrit en 2001, la formation réticulée reçoit en permanence des informations en provenance du monde extérieur et du corps. Lorsqu'elle détecte une menace potentielle dans l'environnement ou un déséquilibre du milieu intérieur, elle éveille le cortex situé au-dessus afin de solliciter des solutions stratégiques et élaborées pour assurer ce que l'on appelle depuis le 19e siècle avec Claude Bernard "l'homéostasie" - le maintien des fonctions physiologiques comme la glycémie ou l'acidité des fluides internes autour de valeurs optimales. 

L'état conscient requiert un niveau minimal d'éveil corticales qui est moduler par l'activité d'une structure nerveuse enfuie dans le tronc cérébral est nommé "formation réticulée". Alimentée en permanence par des informations sensorielles (auditives, visuelles, tactiles...,) elle module ... l'activité de centres supérieurs tels que le thalamus ou le cortex, créant les conditions nécessaires pour que nous soyons conscients de nous-mêmes et de ce qui nous entoure.” 

Dans cet extrait, le terme “conscience” désigne la conscience cérébrale de notre environnement matériel. Il ne s’agit pas de la conscience vibratoire ; soit la conscience non pas de l’environnement visible, mais du champ de l’énergie invisible.    

La conscience de soi, la reconnaissance de notre existence et l'interprétation de nos actions sont directement liées au fonctionnement de nos capacités sensorielles et de notre système nerveux, tel que le montre l’extrait précité. Toutefois, il faut souligner que cette information, bien qu'exacte, elle demeure pour autant incomplète.  

Prenons l'exemple du couloir que nous traversons entre notre chambre et la salle de bain. Nos organes sensoriels nous indiquent qu'il est vide, car aucune stimulation spécifique n’est perçue : ni toucher, ni vue, ni odeur, ni son. En conséquence, le cerveau conclut que cet espace est vide. Cette information est correcte du point de vue sensoriel, mais elle demeure incomplète. Le fait que cet espace soit perçu comme "vide" n'est pas erroné, mais il ne rend compte que d’une portion de la réalité, négligeant la présence omniprésente de l'énergie qui emplit cet espace. 

En somme, l'information délivrée par nos sens est le produit de notre interaction avec une fraction du réel, une fraction limitée par les capacités biologiques de nos sens et de notre cerveau. Nous n'avons pas été conçus pour percevoir l'ensemble de l'univers, mais seulement une petite portion de celui-ci, ce qui est une caractéristique fondamentale de notre condition.  

Il y a lieu de distinguer, d'après ce qui précède entre deux types d'information : celle qui est issue de nos capacités sensorielles et neuronales, et celle qui découle d’une connexion plus subtile avec l’énergie qui compose notre être et notre environnement. Bien que ces informations puissent paraître opposées, il ne s'agit pas de juger l'une comme fausse et l'autre comme vraie, mais de reconnaître que l'information sensorielle est limitée, tandis que l'information issue de notre connexion à l'énergie est plus complète. 

En conclusion, notre perception sensorielle et neuronale ne nous permet de saisir qu'une partie de la réalité, celle qui correspond au monde matériel, tandis que l'information vibratoire, elle, englobe l’ensemble de ce qui existe, y compris l'énergie immatérielle qui nous traverse et nous compose. Ainsi, est-il primordial de comprendre que notre perception du monde est incomplète, mais non fausse, et encore moins illusoire, comme le pensent certains intellectuels, physiciens ou bon nombre de spiritualistes. Nous devons garder à l'esprit que la réalité matérielle, que nos sens nous révèlent, est bien réelle ; toutefois, elle n'est qu'une fraction de ce qui existe.  

Pour accéder à une information véritablement complète, il est nécessaire de quitter son corps physique et d’atteindre le plan vibratoire de l’énergie. Cela est possible à travers une expérience de mort provisoire, comme celle que j’ai moi-même vécue, et que rapportent environ 5 % de la population mondiale. Mais si une telle expérience ne se produit pas au cours de la vie terrestre, il nous faudra simplement attendre ce que nous appelons ici sur Terre : "la mort", qui contrairement à ce que nous nous imaginons, ne représente qu’un passage de cette existence physique vers une existence énergétique.  

Conclusion : 

La réalité que nous percevons par nos sens est bien réelle, mais elle n’est qu’un fragment de l’existence globale. Ce que nous appelons "vide" est en réalité saturé d’énergie, imperceptible à nos sens, mais pleinement présente. Il ne s’agit pas de rejeter notre perception sensorielle, mais de la replacer dans un contexte plus vaste, où la conscience et l’énergie sont les piliers fondamentaux de l’univers. Comprendre cela, c’est reconnaître que nous sommes bien plus que des corps matériels : nous sommes conscience, façonnant l’énergie à travers nos besoins, nos rêves, et nos intentions. Et si la mort n’était pas une fin, mais le passage vers cette compréhension totale ? Une immersion dans la fréquence pure de l’énergie, là où la conscience crée instantanément. C’est ce que j’ai entrevu, et c’est ce que nous sommes tous appelés, un jour, à retrouver. 

 #Neuroscience#emi#énergie#conscience#vide

vendredi 9 mai 2025

La réalité vibratoire confirmée par une EMI






Eléments clés

  1. Notre environnement physique est une extension de l'énergie 
  2. J'ai traversé le mur et perçu l’énergie qui le compose
  3. Le mur n’existait même pas, je ne voyais que des vibrations 
  4. Deux types de perceptions : une perception sensorielle et une perception vibratoire 
  5. Il ne s'agit pas de deux réalités différentes, mais de deux perceptions différentes   

***

Mon EMI m’a amené à comprendre que, sur Terre, notre environnement physique est une extension de l'énergie. La table qui est en face de moi, sur laquelle est posé mon écran d'ordinateur, est une extension de l'énergie. C'est une matérialisation et une densification de l'énergie.  Ça, c’est une information complète. La table est un objet qui existe réellement. Ça, ce n'est pas faux. Je ne le rêve pas. Ce n'est pas une illusion. En revanche, je dois préciser que c'est une densification de l'énergie. Cet objet est composé d'un ensemble de particules et d’ondes qui ne sont autre chose que de l'énergie. Ce sont des particules et ondes vibrant à une fréquence donnée. Nous ne les percevons pas avec nos sens, car ceux-ci sont limités. La physique quantique avait ouvert la voie vers cette compréhension. Je confirme que c’est juste. Je l’ai vu ! 

Le mur de mon bureau est perçu comme un objet rigide. Si je tente d’enfoncer ma main dedans, je me ferai mal. Ce n'est pas possible de le traverser à cette fréquence, mais uniquement à cette fréquence. En revanche, à une autre fréquence vibratoire, où je serai hors de mon corps physique, je peux traverser le mur et percevoir cette danse d'énergie dans laquelle baignent les particules et les ondes qui le composent. Je ne rêve pas. Je l’ai expérimenté moi-même lors de mon EMI. 


Je suis sorti de mon corps et me suis retrouvé à l'état de pure conscience. J'ai traversé le mur de la clinique où j'étais hospitalisé. Pendant un long moment, j'ai clairement perçu la danse énergétique des ondes et des particules qui constituaient le mur. En réalité, le mur n’existait même pas : je ne voyais rien qui puisse être désigné comme un mur. À la place, je n'apercevais que des vibrations. C'était comme une immense étendue, où les particules et les ondes vibraient à des fréquences spécifiques : c'était tout ce que je percevais. 

C'est une information que je rapporte à partir d'une expérience réelle que j'ai vécue personnellement. Je ne suis pas le seul à l'avoir vécue. Il y a au moins 4 à 5 % de la population mondiale qui vit ce genre d'expérience. 

D'autres expériences personnelles, vécues notamment lors de sorties hors du corps, sont venues confirmer la réalité subtile des objets qui nous entourent. Ainsi, j'ai vu, par exemple, les arbres de mon village apparaître comme des masses d'étincelles lumineuses. L'image habituelle que nous avons d'un arbre – un tronc rigide, des branches solides, des feuilles – n'est qu'une perception partielle de sa véritable nature. Lors d'une de ces sorties, j'ai pu observer l'essence authentique d'un arbre, bien différente de ce que nos yeux physiques nous laissent croire. L'arbre n'est pas seulement un objet dur composé d'un tronc, de branches, de feuilles et de racines. L'arbre est une constellation d'étincelles lumineuses, une danse vibrante d'éclats qui résonnent à une fréquence précise, une symphonie de lumière. 

Donc, ici, nous sommes confrontés à deux types d'informations. Le premier provient de notre perception sensorielle et de notre système neuronal. Cette information nous livre une image illusoire, offrant une connaissance partielle de l’arbre.  Le second type d'information existe également, mais n'est pas accessible à tout le monde. Cette information ouvre à une tout autre perception : une perception énergétique. 

Cette deuxième information révèle que tout est énergie. Ainsi, le tableau est complet. Au lieu de parler de deux informations — l'une fausse et l'autre vraie —, nous pouvons parler d'une information incomplète ou complète. De cette manière, il n'y a pas de contradiction. 

Le mur que j'observe à travers mes capacités de perception, ce mur que je perçois comme rigide, existe effectivement sous cette forme à notre fréquence de réalité. Pourtant, simultanément, ce même mur n'est ni véritablement rigide ni dur : il constitue en réalité un amas de particules en vibration. Autrement dit, il s'agit d'une seule et même réalité, appréhendée sous deux perspectives différentes. 

Nous ne parlons pas de deux choses différentes, mais bien d'une seule et même réalité. Le mur présente deux versions : 

  • Une version perceptible par l'humain incarné dans un corps physique, 

  • Une version plus subtile, accessible à la conscience non incarnée, ou extraneuronale. 

Cette dernière ne peut être perçue qu'à travers un état vibratoire distinct, que l'on retrouve, semble-t-il, chez certains animaux, chez des humains d'origine non terrestre, ou encore chez des espèces non humaines. 

Concrètement, il est nécessaire de changer de fréquence vibratoire pour accéder au second type d'information : celui qui révèle que tout est énergie. Pourtant, en réalité, il s'agit de la même chose. Par conséquent, le mur physique et rigide que je vois et que je touche n'est qu'une extension de l'énergie sous-jacente, que je ne perçois pas directement. 

S'agit-il d'une énergie spécifique pour le mur et d'une autre pour la table ? Non, il s'agit de la même énergie, qui prend la forme d'un mur à un endroit et d'une table à un autre. Il n'existe qu'une seule et même énergie, qui adopte différentes formes en fonction des besoins et des perceptions. Ainsi, la même énergie qui, à un endroit, prend la forme d'un mur, se transforme plus loin en une table. Entre le mur et la table, cette énergie unique prend également la forme d'un fauteuil, d'une chaise, du sol, et ainsi de suite. 

 #énergie#vibration#perception#conscience#particule